Elle offre même sa petite rondelle

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il y a 3 ans

Je me prénomme Philippe. J'ai trente-six ans, et voici ma petite histoire. Je suis marié avec Sophie, trente-quatre ans et nous avons deux e n f a n t s, nous ne sommes pas échangistes, ma femme refuse catégoriquement. Pourtant, nous ne sommes pas coincés et nous avons des jeux très coquins et pervers. Sophie accepte que je la sodomise et prend beaucoup de plaisir à m'offrir son petit orifice.

Sophie est brune, elle mesure 1m65 pour 52 kgs, une poitrine 90C, elle a les cheveux long, bruns et bouclés. Elle a les yeux bleus. Elle aime s'habiller de façon féminine mais sans être provocante. Elle porte souvent des robes ou des tailleurs jupe et veste.

Lorsque nous sommes arrivés sur Bordeaux, elle était à la recherche d'un emploi, elle fut embauchée comme vendeuse dans un « point chaud ». Une semaine plus tard, elle m'avoua que son patron lui avait fait des avances et même proposé de l'argent pour passer avec elle un agréable moment mais qu'elle avait refusé. Le soir, alors que nous faisons l'amour, je lui glisse dans l'oreille : "Tu aimerais accepter la proposition de ce gros cochon, petite pute ! N'est-ce pas !", elle se mit à jouir presque aussitôt sans rien répondre.

Je la rejoins une seconde plus tard. Souvent, lors de nos ébats, nous utilisons des mots crus, sans f o r c é ment penser ce que l'on dit. Juste pour nous exciter un peu plus. Sentant Sophie gênée, je ne lui parlais de rien

Quelques jours passèrent. Sophie, en larmes, m'avoua qu'elle avait cédé à son patron. Elle était désolée, ma réaction peut choquer certain mais je la consolais, la prenant dans mes bras. Le soir même, au lit, elle me confia qu'elle avait pris beaucoup de plaisir avec lui et me raconta dans les détails tout ce qu'ils avaient fait. Comment il lui avait caressé les cuisses et les fesses sous sa blouse dans l'arrière boutique et comment il l'avait prise penchée en avant sur la table de travail. Mon sexe était gonflé de désir, je pris sa main pour le lui faire constater, et lui demandai de renouveler l'expérience. Elle me regarda surprise en me demandant si je ne lui en voulais pas. Je la rassurais en lui faisant promettre de me raconter avec tous les détails chaque rencontre.

Elle hésita un peu mais accepta. Son patron avait cinquante ans environ, pas très séduisant et un peu enveloppé mais doté d'un sexe impressionnant apparemment. À chacune de leur rencontre, sa fiche de paie se chargeait en heures supplémentaires. Elle touchait le Smic et tous les mois son salaire doublait. Il lui donnait environ cent euros à chaque fois à condition qu'elle ne refuse rien. Quand elle le voyait, je ne pouvais pas m'empêcher de lui faire l'amour non sans lui avoir longuement léché le minou. Ça me rendait fou. Au point de lui demander de ne plus se laver après leurs ébats. Elle le fit et, là encore, ce fut extraordinaire. Je nettoyais les souillures de ma femme en y prenant un plaisir intense.

Il lui proposa un week-end en Espagne contre une somme très rondelette. Elle m'en parla pour avoir ma bénédiction. Évidemment, j'acceptai. Je passai tout mon week-end à me masturber en l'imaginant. Le dimanche soir, elle me raconta tout. Le samedi, elle lui avait donné sa petite rondelle, il en avait bien profité. Il la sodomisa trois fois entre l'après-midi et le soir. Le lendemain au réveil, encore, et encore trois fois au cours de la journée. Sur l'autoroute du retour, il lui demanda de s'exhiber, chemisier ouvert et jupe relevée pour le plaisir des routiers. Elle avait un peu hésité mais comme d'habitude il avait su trouver les arguments pour la décider.

Une semaine plus tard, il lui fit la surprise de la recevoir chez lui, en compagnie d'un de ses amis. Ils la prirent à deux, ce qui la fit un peu souffrir puis à tour de rôle plusieurs fois dans la journée. Le soir elle rentra crevée et elle se mit à pleurer en me disant qu'elle avait l'impression de devenir une putain.

Elle refusa ensuite d accorder ses faveurs à son patron. Il la baratina et quelques jours après, leur liaison reprit. Sophie me confia qu'elle ne prenait plus de plaisir avec lui et qu'il la dégoûtait mais que sa générosité été devenue indispensable à notre budget. La voyant dépérir, je lui dis d'arrêter, que l'on trouverait une solution Elle a rompu définitivement et s'est fait licencier deux mois plus tard.

Philippe Bordeaux

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